Seul Nice matin a révélé ce fait et peut être en avez-vous entendu parler. Le 28 août 2016, un Boeing 737 de la Turkish Airlines a survolé Nice à 130 m d’altitude en phase d’atterrissage, créant un émoi très fort. Les passagers ont eu très peur et ont rapporté qu’ils ont entendu des disputes dans la cabine de pilotage.
L’atterrissage fut problématique et pour cause. De source bien informée, (Direction de la Sécurité Aérienne de l’aéroport), il semble qu’on ait évité une catastrophe comparable à celle du crash de l’avion causé par le copilote d’une compagnie allemande sur les montagnes françaises.
En effet, il y aurait eu bagarre entre le Commandant de bord, djihadiste et le copilote. Ce dernier aurait réussi à neutraliser le Captain, qui voulait lancer l’avion sur la ville de Nice et il a réussi tant bien que mal à atterrir. Si c’est exact, bravo pour cet homme et son courage.
Ces éléments sont rapportés par Daniel CHENARD, Sous-préfet honoraire, 226 avenue des anciens combattants – 06220 Vallauris et on peut supposer qu’ils sont exacts. Messieurs Ciotti et Estrosi ont demandé la vérité sur cet incident et depuis, c’est le silence radio du côté des « Autorités », dont chacun connait la pugnacité tout à fait bisounours.
La trajectoire suivie par l’avion turc
Selon mes informations, elle devait aboutir à un atterrissage en piste 22, face au Sud-Ouest, en suivant la procédure figurant sur la fiche d’approche ci-dessous, (tracé en surligné jaune et flèches rouges).
Cette procédure nécessite un minimum de visibilité de 8km et un plafond des nuages supérieur à 1 500 pieds.
Comme on le voit, cette procédure exclut bien évidemment, pour des problèmes de bruit et de sécurité, le survol de la ville de Nice. La trajectoire normale passe au minimum à 600 m de la côte, mais ce jour-là, l’avion en provenance du Sud-Est n’a pas viré à gauche pour s’aligner sur l’axe de la piste 22. Il a filé tout droit en piqué vers la ville.
Il est aberrant que l’avion soit passé au-dessus des immeubles de la ville, à une hauteur d’environ 60 mètres des toits. Il semble que le copilote a remis les gaz, tiré sur le manche et viré sur la gauche pour se réaligner avec la piste. Le tout a duré une dizaine de secondes, la situation n’a été rétablie qu’à 2 secondes de l’impact, l’avion n’étant plus qu’à 60 m. des toits des immeubles.
A cette anomalie de trajectoire, il peut y avoir deux explications possibles :
- Ou une erreur de pilotage. Mais on est en vol à vue. On voit la côte et il faudrait vraiment être très maladroit pour déborder son virage à gauche de plus de 600m quand on cherche à s’aligner en courte finale. Même pour des pilotes médiocres, ce serait beaucoup d’erreur !
- Ou il s’est bien agi d’une dispute entre les pilotes, l’un voulant planter l’avion sur Nice et l’autre s’y opposant.
Dans les deux cas, les habitants de Nice, déjà traumatisés, mais aussi tous les citoyens ont le droit de savoir EXACTEMENT ce qui s’est passé. Ils en ont assez d’être pris pour des imbéciles. Au lieu de cette information, nous avons droit au silence des « Autorités », un mot vraiment très inapproprié pour ces chiffes molles.
Ilan Moshé Paperon Mouais
J’ai vu ça ouai
si c’est le cas,ya t’il eu un changement de pilote pour le vol retour ? sinon ca parait bizarre tout ca,ou c’est un apprenti terroriste qui s’est décidé au dernier moment d’où la bagarre car si le pilote prepare son coup il doit neutraliser la copilote ou bien l’envoyer chercher un café en phase de descente et bloquer la porte !
Cette approche est assez délicate et il est très facile de déborder sur la ville. En effet, raccourcir la trajectoire amènerait l’avion trop haut en finale, ce qui implique de remettre les gaz. Il est donc tentant de rallonger un peu la trajectoire en allant chercher à suivre le bord de mer, ce qui peut nous pousser à survoler la promenade si les vents en approche (souvent changeants) ont mal été surveillés. Il est donc possible (sans écarter la thèse de la dispute), que cette approche ait été « ratée » par le pilote aux commandes et que les cris entendus soient ceux d’un équipage stressé, qui a du mal à gérer une situation délicate, surtout si c’est le copilote qui essaye de donner des instructions au CDB (gradient d’autorité culturellement fort).
Par contre, il est très surprenant que la DGAC et la Turkish ne disent rien là-dessus. Cette compagnie accumule les problèmes de sécurité des vols (il suffit d’aller voir Aviation Herald ou de questionner un PN qui y travaille) et personne ne s’en émeut. Malheureusement, et contrairement à ce qui se passe chez nous, il y a un « silence radio » qui semble plus ou moins imposé…
Nice, attentat déjoué ? https://t.co/QAHQno6m0s via @pnc_contact
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