
Le Boeing de la compagnie aérienne franco-hollandaise a évité l’obstacle de justesse le 02 mai 2015, apprend-on.
L’autorité aéronautique française est persuadé que la frayeur est due au facteur humain. L’enquête qui a été ouverte cherche à établir entre autre si les faits ont été révélé grâce aux déclarations des membres de l’équipage une fois arrivée à Douala ou si se sont les ingénieurs au sol qui ont révélé l’anomalie après analyse. Mais en tout cas précise le Bureau d’Enquêtes et d’Analyses pour la Sécurité de l’Aviation civile « cela démontre que ce déroutement intempestif a été fait dans une mauvaise direction, ce qui veut dire que l’équipage n’avait pas été suffisamment bien préparé. C’est un problème de facteur humain, de comportement et peut-être de formation« . Un porte-parole d’Air France cité par France Télévision précise que l’équipage du vol bénéficie actuellement d’un « accompagnement pédagogique, managérial et médical » suite à cette frayeur. Quant aux passagers du vol AF 953, « ils ne se sont rendus compte de rien », précise-t-il.
Au Cameroun, l’information est passée sous silence bien qu’elle ait été abondamment relayée ces dernières heures par les médias français. Le Boeing 777 d’Air France effectuait ce 02 mai une liaison de 30 minutes entre la capitale de la Guinée équatoriale Malabo et Douala. Les trois pilotes compris, 30 passagers se trouvent alors dans l’appareil. En ce début mai, des nuages orageux encombrent le ciel. À une altitude de croisière 2 800 mètres soit 9 000 pieds, les pilotes décident dès lors de prendre un itinéraire plus au nord afin d’éviter de s’enfoncer dans l’orage. Au moment de virer vers l’est, leur trajectoire les amène à frôler le Char des dieux.
On peut lire sur le site web du Figaro que le Boeing s’est tant et si bien approché le mont qu’ «un avertissement oral d’un système d’avertissement automatique au sol, les enjoignant à « redresser » l’appareil». L’alarme du GPWS est un indicateur de proximité du sol. L’équipage a amené l’avion aux environs de 13.000 pieds et a continué vers Douala. Air France a confirmé que l’équipage du vol AF 953 du 2 mai avait effectué une procédure « prévue par le manuel de la compagnie et du constructeur en réponse à une alarme générée par l’avion. »
250 enquêtes par an sont ouvertes par le BEA.
Une alarme retentit pour avertir l’équipage d’un danger
L’équipage fait le nécessaire pour corriger.
So what ?
Des dizaines d’incidents de ce type arrivent chaque jour et même un site s’est spécialisé pour les lister. C’est d’ailleurs très instructif.
Quant au titre, no comment !
Des alertes proximité terrain alors que l’équipage « pense être » est en vol de croisière c’est plutôt rare, arrêtez de dire n’importe quoi !
vous connaissez l’altitude a laquelle se déclenche le signal « pull up » ?
Air France en manque d’effectifs pour gérer leurs vols
Ils jouent avec les passagers tout ça pour du profi !!!!!!
Un monde d’argent c tout