Le communiqué de presse est tombé hier, il faudra être 2 dans le cockpit et ce tout le temps. Si un des pilotes doit quitter son poste une hôtesse de l’air devra être présente au poste jusqu’au retour du pilote.
Cela ne va sans doute pas plaire à Erick Derivry, président du SNPL, qui a peur d’être attaqué a la hache par une hôtesse de l’air, sans doute un fantasme BDSM non avoué (humour)…
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Sur une heure de vol avec service complet on fait comment ?
Faut espérer que vos pilotes soient assez compréhensifs pour prendre leurs précautions en cas de vol court ou de se retenir le cas échéant…
Comme à la SNCF, ils se retiennent et prennent leurs précautions avant
On se retient
On fait pas pipi !
Il aura fallu d’un drame pour que la DGAC change sa réglementation .. Triste réalité !
C’est malheureusement toujours le cas. Ils ont aussi décidé de renforcer le contrôle psychologique et médical des pilotes…Ça aurait pu être fait avant si quelqu’un réfléchissait un peu à tout ça.
Exactement ..
Oh bah non ils vont attendre un drame également pour faire changer les choses
Encore une belle façon de rassurer les passagers sans pour autant avoir la solution au problème, un meilleur suivi sur l’état psychologique des pilotes et le retrait de ces derniers de leurs fonctions en cas de déficience en accord avec leur poste devrait plutôt être mis en avant… Lors d’une approche finale, etre deux, trois ou quatre n’arrangera rien il plantera l’avion sur la piste ou avant… Bref ça brode comme toujours
Nos pilotes seront dotés d’une bouteille pour faire pipi 🙂
uneaubaine pour sauter une hotesse
Je pense que c’est juste de la com. pour rassurer les pax en attendant une nouvelle procédure. Si un PNT veux envoyer l’avion au sol, un coup d’extincteur dans laggle du PNC et le tour est joué
Un coin toilettes dans le cockpit ou un vase de nuit dans un coin… On n’empêchera jamais un coup de foli.
A la sncf il y a toujours qu’un seul conducteur de tgv…. et il va pas pisser …. mais il peut se suicider avec les milles passagers derriere lui …. va falloir lui mettre de la compagnie au cas ou il soit dépressif sans qu’on le sache….
Effectivement , tout ça n’est qu’une histoire de communication pour les passagers mais certainement une mesure nécessaire pour leur tranquillité d’esprit quand bien même sans grande efficacité en présence du probleme . Après , il faut peut être relativiser par rapport à cet événement . Dans l’histoire de l’aviation , il y a eu en tout et pour tout environs 6 cas de suicide avec un avion sur 38000000 de vol par an depuis que les avions volent !!! On est loin d’en être à une remise en question de la santé mentale des PNT me semble t’il ? Pour autant , si l’on veut réussir à arriver au risque 0 totalement , la seule solution serait dans la communication entre les médecins de ville consultés par les PNT au sujet de problèmes psy et le service medical de la compagnie afin d’avoir la possibilité de retirer , suspendre la classe 1 sans en indiquer le motif à l’employeur . Le respect du secret professionnel serait intact . Et cela serait facilement réalisable par une directive ministérielle de la santé . Et ce serait facile actuellement avec le coup de projecteur des médias. Et puis peut être qu’il peut être proposé qu’un GP de la compagnie PNT OU PNC en R2 puisse remplacer pour etre deux dans le poste pour pas appauvrir le service cabine et surcharger le travail derrière ? Comme un passager requis qui surveille les UM en quelque sorte . Comme ça on n’emmerde personne ?