Apprendre à voler, ça vous dit ? On s’organise ça ?

Bon, 65 euros, c’est pas donné, mais 1 fois dans sa vie et sans les risques -et plaisirs spécifiques- de la vraie chute en parachute, et c’est à Argenteuil -près de Paris- pas la peine d’aller dans la pampa pour trouver un terrain, avec la météo adéquate, l’avion, les moniteurs disponibles etc…

On s’organise ça quand vous voulez, et pis un p’tit repas pnc-contact après 😉
(et pas l’inverse sinon il risque de d’y avoir de la bave et des grumeaux sur la visière 😀 )

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http://www.linternaute.com/homme/loisirs/photo/apprendre-a-voler-au-complexe-aerokart/apprendre-a-voler-au-complexe-aerokart.shtml

Apprendre à voler au complexe Aerokart

© L’Internaute Magazine / Cécile Debise

1/ Apprendre à voler au complexe Aerokart

Connaître les sensations d’une chute de plus de 4000 mètres sans prendre l’avion… Sentir l’air vous soulever et apprendre à se déplacer sans toucher le sol : telles sont les raisons qui nous ont poussé à suivre ce cours de vol plané !

2/ Un complexe unique

Bénéficiant d’une exclusivité mondiale, le complexe Aerokart est équipé d’un simulateur de chute libre unique en France, capable de vous faire vivre les sensations les plus extrêmes.

3/ 2’30 dans les airs

La session de 2 minutes 30 équivaut à la durée de 3 sauts en parachute… Aussi court que cela puisse paraître, le temps passé dans les airs est donc très appréciable et permet d’apprendre assez vite les bases de la chute libre.

4/ L’entrée dans le sas

La différence de pression entre la salle du simulateur et l’extérieur est telle que le passage dans un sas est nécessaire… On sent alors monter une petite boule au ventre.

5/ Protection des oreilles

Avant d’entrer dans l’espace du simulateur, il est important de se protéger les oreilles du bruit des moteurs qui, lancés à fond, couvrent tous les autres sons. La pression monte encore d’un cran !

6/ La combinaison

Non, ce n’est pas la dernière tenue à la mode de Jacobim Mugatu dans « Zoolander », mais la combinaison de notre moniteur parachutiste. Avec des poignées pour que l’on puisse s’agripper et des pattes d’eph’ qui augmentent la portance dans l’air, tout est étudié au plus près.

7/ Le variateur de puissance

Contrôlant les 12 moteurs électriques répartis en cercle, le variateur de puissance permet d’ajuster l’air envoyé au poids des participants et de créer un vent allant jusqu’à 250 km/h.

8/ Les moteurs

Situés en sous-sol derrière une grille protectrice, ces moteurs ont été inventés et brevetés par une équipe d’ingénieurs et d’architectes français.

9/ Equipement

Outre la combinaison et les protections pour les tympans, l’équipement comprend un casque intégral et des gants. Une petite ouverture sans porte donne directement sur le simulateur et, s’il est beaucoup plus facile de s’y jeter que l’on ne le fait d’un avion, le saut reste impressionnant.

10/ La communication

Il ne reste que les gestes, et en particulier les doigts de la main, pour se faire comprendre. Un breafing de 10-15 minutes est d’ailleurs dispensé pour savoir comment communiquer avec son moniteur. Ce qui n’est pas chose aisée, lorsque l’on se retrouve tout à coup dans un milieu qui fait fi de nos sens et sensations habituels.

11/ Un cylindre

Le vol se passe dans un espace clos, fermé en bas et en haut par une grille d’où vient et s’échappe l’air projeté. Un cylindre de plus de 4 mètres de diamètre suffit en effet pour exercer un grand nombre de figures en plein air, figures que viennent répéter ici les plus grands champions de chute libre, par souci pratique.

12/ Un loisir à partager

Pendant que les uns volent, les autres prennent des photos souvenir ou observent les gestes à faire. Cette aventure se vit en groupe et regarder les autres se débattre dans les airs est en soi une sensation aussi très étrange !

13/ Un vol accompagné

Même si l’activité est sans danger et accessible à tous, les premiers vols se font obligatoirement accompagnés par l’un des 14 moniteurs titulaires du Brevet d’Etat de Parachutisme. Mais suivant l’aptitude de chacun, il est possible d’apprendre très vite à se débrouiller seul.

14/ Les figures

Les figures de la chute libre peuvent être répétées en avance sur le sol… Mais ce n’est pas aussi simple lorsque l’on plane dans les airs ! L’une des premières choses à apprendre est l’acquisition d’une certaine stabilité, ensuite vient la maîtrise de l’accélération et du freinage (en offrant plus ou moins de surface corporelle à l’air) et enfin, les jeux de glisse et figures à plusieurs.

15/ Défi à l’apesenteur

Il est étonnant de voir à quelle vitesse on s’habitue finalement à cette nouvelle condition et même si l’on n’arrive pas à maîtriser grand chose, ce défi à l’apesenteur est un vrai moment de défoulement, une décharge d’adrénaline qui nous plonge un instant dans un monde futuriste et déconcertant.

16/ Le test en vidéo
voir la vidéo à cette adresse :
http://www.linternaute.com/homme/loisirs/photo/apprendre-a-voler-au-complexe-aerokart/le-test-en-video.shtml
(à moins qu’un modo sache comment l’intégrer dans mon message, merci 😉 )

17/ En savoir plus
Complexe de loisirs à sensations fortes, Aerokart offre la possibilité de faire du karting indoor et du parachutisme en salle. Tourné vers l’organisation d’événements (anniversaires, séminaires d’entreprises, enterrements de vie de garçons…) il vous offre de plus des prestations sur mesure tout compris.

Le simulateur de vol dont est équipé Aerokart est le plus puissant au monde et permet de créer un véritable « coussin d’air » de 250 km/h.
A partir de 15 ans et 45 kg, vous pouvez profiter de cette incroyable attraction moyennant 65 euros.
Un certificat médical d’aptitude à la pratique de la chute libre est obligatoire mais ne nécessite aucune condition particulière.

Le complex Aerokart vous reçoit toute l’année du mercredi au dimanche
Aerokart 199/203 route de Pontoise – 95 100 Argenteuil
Tél. : 01 30 25 71 90
Le site : http://www.aerokart.fr